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Sexe, drogue, alcool et Valium.
Ce cocktail détonnant qui a fait le succès des romans de Bret Easton Ellis nous étourdit une fois de plus.
Nous sommes en 1981, Bret revient sur [...]
Ne vous laissez pas impressionner par la taille de ce roman, au contraire laissez vous emporter par cette magnifique histoire où tout est possible, vous serez émus et touché, vous [...]
Un très bon manga, bourré d'action et d'humour, il reprend tout les codes des grands comme One Piece ou Naruto, mais en rajoutant un petit je ne sais quoi qui [...]
Un nouveau bijou signé Darren Aronofsky ("Mother !", "Requiem for a dream", "Black swan") et un rôle magistral pour Brendan Fraser que l'on connaît dans des rôles plus légers (La Momie).
Dans une performance aussi physique que dramatique, l'acteur incarne Charlie, enseignant à distance souffrant d'obésité morbide, rongé par le deuil et la culpabilité. Les personnages sont tour à tour bourreaux et victimes, blessés et blessants, durs et tristes de réalismes. Avec Aronofsky, il n'y a pas de gentil ou de méchant.
Le réalisateur nous pousse dans nos retranchements comme il sait faire : jugement et incompréhension, pitié et tristesse, espoirs, apaisement et rédemption.
Bouleversant... et adapté de la pièce de théâtre éponyme de Samuel D Hunter !
Et si on parlait de contraception masculine ? Non, ce n'est pas la "dernière lubie féministe"... D'ailleurs cette BD est le fruit d'une enquête de plusieurs mois menée par 2 journalistes (hommes faut-il préciser) auprès de ceux qui ont fait avancé la contraception masculine depuis les années 80... Si, si, depuis tout ce temps ! Une BD très instructive qui interroge également sur le parcours de ceux qui souhaitent déconstruire les clichés sociaux patriarcaux... Inspirant ?!
Quand un jeune banlieusard ayant raté le concours d'entrée d'école de médecine se retrouve par défaut à suivre l'école de sages-femmes le tout en le cachant à ses proches... Cela donne une jolie comédie, on passe du rire aux larmes, du coup de gueule face aux conditions de travail et à la méconnaissance du métier à l'admiration et au respect. Un joli coup de maître qui pourrait éveiller des vocations !
Dans un monde post apocalyptique dont nous ne connaîtrons pas la raison ; pas de bombe, pas de mystérieux virus, peu importe la cause, ne compte ici que le sens de la quête... Un jeune homme qui a appris de son père comment survivre à la cruauté du monde se retrouve soudainement seul, avec pour seule richesse le journal écrit par celui-ci. Mais dans un monde où n'importe que de manger, on ne sait pas lire... Commence alors pour le jeune homme la quête d'un adulte qui saura lui lire les dernières mémoires de son père. Et si tout le sens de sa (sur)vie en dépendait ?
Adeptes d'une SF d'action à la Madmax vous serez déçus, ce film dont l'ambiance et la dureté des décors collent au genre nous emmène plutôt dans une fable initiatique au rythme lent de la quête du héros, un jeune garçon perdu dans le tourbillon de ses émotions...
Au château, la dictature continue, ponctuée de "cadeaux" du président et de violences "policières"... Mais les animaux entrent en résistance pacifique influencés par le sage Vieux Rat et l'idéaliste Mme B... Un combat pas sans pertes et sacrifices car "la première non-violence est celle que l'on se doit à soi-même"... Une série joliment dessinée, aux répliques percutantes qui donne à réfléchir, à lire absolument !
Une BD bouleversante tant par le choix des couleurs et dessins donnant ce côté froid et délicat que par le sujet terrible de l'inceste abordé. Un ouvrage percutant, où l'on apprend à grandir et se construire avec Sam quand tous vos repères s'effondrent, quand votre confiance en l'adulte s'éteint, quand votre existence disparaît peu à peu. Révoltant, l'estomac se noue, on veut crier avec elle. Profondément résiliant, l'espoir, la douceur sont là, merveilleusement amenés par les touches d'humour et de candeur de l'auteur qui a cette soif de vivre malgré tout. A lire absolument, de l'adolescence à l'âge adulte.
Bien vu, cette réadaptation de l’œuvre de H. G. Wells : esthétiquement réussie et dans l'air du temps, un suspense haletant. La brillante Elisabeth Moss (The Handmaid's tale) incarne de nouveau parfaitement la femme oppressée luttant contre "les pires forces du Mâle" ;-)
Toujours à la recherche d'innovations visuelles et esthétiques, Michel Ocelot (Kirikou, Princes et princesses) nous offre son nouveau chef-d'oeuvre. Dans le Paris de la Belle Epoque, entre images animées et décors constitués par des photos repeintes, nous suivons l'intrépide Dilili et ses amis qui enquêtent sur de mystérieuses disparitions de fillettes. Petits et grands y trouvent leur compte en (re)découvrant la Ville Lumière et les personnages qui ont marqué cette époque.
Remake quasi à l'identique du chef-d'oeuvre de 1994 (et oui déjà !), cette version est cette fois entièrement en images numériques, bluffantes de réalisme. Alors bien sûr, sans grande surprise, mais superbe. Un beau moment à (re)découvrir et peut-être que, comme moi, vous verserez à nouveau votre petite larme :-)
Quittant son paisible village, un jeune garçon recherche son père parti travailler à la ville. Il découvre à travers ses péripéties un monde à la fois dur et magique. Une fable onirique et poétique à travers plusieurs degrés de compréhension; l'enfant sera captivé par le monde merveilleux, l'adulte sera touché par les contradictions et la complexité de l'histoire du Brésil. Un film puissant et engagé, un travail d'artiste avec une bande-son tout simplement superbe.
Période de Ségrégation, une histoire d'amitié entre 2 hommes que tout oppose, l'un est un videur italo-américain impulsif, l'autre un pianiste noir de renommée internationale en quête d'identité. Ensemble ils vont dépasser leurs propres préjugés dans cette absurde Amérique des années 60. Drôle et touchant, un très beau duo d'acteurs, un film qui donne à réfléchir.
Lassée de son travail routinier, Elli H Radinger quitte son métier d'avocate et son confort pour vivre sa passion des loups au grand air. Elle n'a rien d'une scientifique, elle est simplement admirative envers cet animal qui sait s'adapter au milieu dans lequel il vit. Elle nous fait découvrir ce que l'homme a tant à apprendre du loup et de la meute; sa capacité à gérer l'échec, le deuil... Une jolie réflexion sur notre place dans la nature et la vie sauvage et la nécessité pour nous de nous y adapter et pas l'inverse...
Tellement cliché, tellement vrai, Fabcaro passe au crible nos maux de couple et vise juste. On s'identifie, on se redécouvre, on rit (jaune) et on aime aimer...
Une belle adaptation de l'autobiographie de Molly Bloom royalement interprétée par Jessica Chastain. On suit le parcours de cette femme étonnante avide de réussite où qu'elle soit, une histoire incroyable qui ne fait pas dans la démesure mais qui percute. Un film passionnant qui laisse un peu rêveur: "à coeur vaillant rien d'impossible" ;-)
Encore méconnu en France où la plupart de ses films sont restés inédits , le réalisateur Ryoo Seun-Wan va certainement beaucoup plus faire parler de lui avec Battleship Island. Avec pourtant une sortie technique dans une seule salle incompréhensible tant ce long métrage mériterait d’être vu par le plus grand nombre car il est certainement l’un des films sud-coréen le plus marquant de cette année. Une reconstitution d'un des camps de travail forcé basée sur des faits réels, des scènes aussi violentes que réalistes qui nous bouleversent, une évasion spectaculaire, des personnages touchants... Un film qui mérite vraiment le détour et qui ne laisse pas indifférent.
Un film qui n'est pas passé par les salles françaises mais qui mérite pourtant d'être vu... Le scénario n'est pas des plus original et rappelle l'univers de "Impitoyable" de Clint Eastwood mais la beauté des prises de vue, le jeu charismatique des acteurs et la sublime musique nous plongent dans un univers sombre et inquiétant. Une réussite!
Une belle découverte que ce film d'animation tout en finesse, en sensibilité, en harmonie, en originalité. Revisitant diverses légendes européennes, ce conte aux notes celtiques et aux graphismes très épurés enchantera petits et grands.
Vos bibliothécaires ont craqué sur la couverture vintage de cette nouvelle BD... Méfiez-vous des femmes au foyer !Deux filles blondes comme les blés, un job de vendeuse de cosmétiques à domicile, un mari occupé qui rentre tard du travail... en apparence, Josie Schuller a tout de la mère de famille idéale. Mais elle a un secret : c'est aussi la plus impitoyable des tueuses à gage ! Amateurs des années 60, vous y trouverez votre compte tant les graphismes et les couleurs vous plongent dans l'époque... Le personnage au croisement entre Jackie Kennedy et Audrey Hepburn, les costumes, les voitures, les décors… tout sent bon les 60's. Et en bonus, quelques planches faussement publicitaire façon pin-up...Un peu déçue en revanche par le scénario très classique du tueur à gages qui devient lui-même la cible... On passe toutefois un très bon moment à admirer l'esthétisme de ce premier opus.
Encore un roman qui fait du bien de Jean-Paul Didierlaurent! Ambroise pratique la thanatopraxie. Il s'occupe de rendre aux morts une apparence paisible pour leur dernière apparition en public.En froid avec son père Prix Nobel de médecine, il vit une vie simple à côté de sa grand-mère maternelle, spécialiste en gâteaux bretons de toute sorte.Sa route tranquille va croiser celle de la bouillonnante Manelle, assistante à domicile et petite fée d'une ribambelle de personnes âgées.Ils vont se retrouver quatre à traverser une partie de la France afin d'amener Samuel Brinsky, un octogénaire marqué par les camps de concentration vers ce qu'il souhaite être sa dernière demeure.Mais rien ne va se passer comme prévu…Un roman qui traite de choses graves, comme la mort, au centre de toute l'histoire. Elle y est pourtant évoquée de la manière la plus naturelle qui soit, avec tendresse et humour. De la même façon l'écrivain tente de nous réconcilier avec la vieillesse, qui est aussi au coeur de l'intrigue. Un petit roman vif, émouvant, qui nous fait passer un très bon moment...
Joli coup de coeur pour ce thriller pour "ados" qu'on dévore du début à la fin...Fuyant sans cesse son père violent, Cameron et sa mère s'installent dans une nouvelle maison. Le jeune garçon a un mauvais pressentiment. Il découvre qu'un massacre s'est déroulé 50 ans plus tôt dans la ferme : un homme a tué sa femme et l'amant de celle-ci et leur petit garçon, Jacky, est mort étouffé dans un coffre, terrifié par les chiens paternels...Ambiance sinistre et oppressante garanties...
Non, non, vos bibliothécaires ne se sont pas trompées en rangeant un catalogue Ikea dans les rayons puisqu'il s'agit bien d'un roman!Afin d’en faire le théâtre d’une aventure rocambolesque et effrayante, Hendrix Grady a créé Orsk, une parodie évidente des magasins Ikea, «showroom» labyrinthique, cafétéria avec petites boulettes et meubles aux noms imprononçables compris. Par le biais des mésaventures de ses personnages, Brady écorche sans pitié la société de consommation dans Horrorstor.La routine bien huilée des employés d’Orsk est perturbée depuis quelques jours : les ventes sont mystérieusement en baisse, la nuit, le magasin est victime de vandalisme et de graffiteurs alors que les caméras de sûreté ne rapportent aucun mouvement, et les employés reçoivent des textos disant «au secours». Pire encore, par un matin banal, la machine à «puncher» ne fonctionne plus et les escaliers roulants défilent à l’envers. Histoire d’élucider le mystère, Basil, le gérant modèle, la cynique Amy qui déteste son emploi et Ruth-Ann, la caissière vétérante à la gentillesse indéfectible s’installe pour la nuit dans le magasin dans le but d’en patrouiller la surface jusqu’à l’aube. On s’en doute bien, leur nuit ne sera pas de tout repos.Avec une couverture aussi prometteuse, on s'attendait à avoir quelques frissons... et ce fut chose faite (au point de ne pas prendre le livre avant d'aller se coucher...)Déception toutefois pour un dénouement bien trop rapide à mon goût...
Un homme sort de terre, décharné, nu, un collier de métal autour du cou. Rassemblant ses dernières forces, il escalade un grillage et fuit, enfin libre. Le lendemain, il est retrouvé mort. Six ans plus tard. Flora emménage dans la maison familiale au lieu-dit La Draille. Cyril est venu l'aider, et Marie, sa compagne, doit les rejoindre le lendemain. Mais à son arrivée, Cyril et Flora ont disparu. Le village est désert. Vidé de tous ses habitants au cours de la nuit....Tous les genres se côtoient dans Le Camp: au départ thriller, puis scénario catastrophe, quelques touches de fantastique pour finir par la SF... Tout y est, l'intrigue, l'atmosphère angoissante, des références à notre sombre Histoire de France... Un petit reproche toutefois pour une fin un peu trop vite expédiée... mais un très bon moment quand même. Un roman haletant, qu'on ne lâche pas avant le dénouement.
Très drôle, Vincent Malone tourne cette fois l'école en dérision.A découvrir avec des grands, car certaines piques sont subtiles.
Une jolie histoire de cohabitation entre deux ours.Drôle et tendre, idéal pour une première lecture.
L'histoire attachante d'un chien de la rue qui cherche un maître mais cette quête ne sera pas facile...Drôle, émouvant, cela donnerait (presque) envie d'en avoir un...
Tout y est : le ton, le style virtuose, la musique et l'interprétation étourdissante avec l'humour pince-sans-rire de Christoph Waltz, la rage silencieuse de Jamie Foxx, le sadisme placide de Leonardo DiCaprio, le délire de puissance de Samuel L. Jackson... Du très grand art...Attention, scènes violentes.
Le film reprend les aventures de ce chat espiègle et attachant qui va apprendre à devenir un "bon juif" par amour pour sa maîtresse. Durant son apprentissage, le chat ne manque pas de contredire son rabbin, et le rabbin de son rabbin, tout en observant avec perspicacité les autres disciples du rabbin. Un film drôle et dépaysant!
LE film d'animation de science fiction française! Réalisé en 1973 par René Laloux, le film met en scène une réflexion sur l'intelligence, la société, la politique et la nature humaine. Les humains (Oms) deviennent ainsi les animaux domestiques des gigantesques Draags...Attention toutefois, l'histoire peut parfois heurter la sensibilité du jeune spectateur.
Renaissance est un beau film d'animation, entre polar et science fiction. Entièrement en noir et blanc, l'univers de ce film est réalisé par la technique de la capture de mouvement. Bluffant...Cristal du long métrage au festival d'Annecy.
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