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Yannick (Quentin Dupieux)

note: 5Coup de coeur DVD Manon - 18 avril 2024

Yannick n'apprécie pas la pièce qu'il est venu voir au théâtre et le fait savoir... Un film porté par Raphaël Quenard qui joue incroyablement bien, des dialogues improbables et un [...]

Nuit blanche (Nicolas Druart)

note: 4Sale temps à l'hôpital Pascale - 15 avril 2024

Un huis clos à l hôpital où les morts s enchaînent. Qui est ce mystérieux malade?

Facile à lire, chapitres courts, par contre fin un peu surprenante de mon [...]

Les Dragons (Jérôme Colin)

note: 5Les dragons Manon - 6 avril 2024

Venez à la rencontre des dragons, ces jeunes qui ne se sentent pas à leur place, qui ne se sentent pas adaptés à cette vie. Un texte poignant, qui sonne [...]

Une saison pour les ombres (Roger Jon Ellory)

note: 4 une bonne intrigue Pascale - 3 avril 2024

Une découverte de l auteur.
Facile à lire, chapitres courts, je me suis laissée embarquer dans ce retour en arrière dans une contrée froide aussi bien par l' hiver rude [...]

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Critique

 

En attendant Bojangles (Olivier Bourdeaut)

note: 5En attendant Bojangles Mireille - 27 juillet 2016

Le tango endiablé du couple en couverture du livre me fait davantage penser à un de ces romans d’amour rapidement écrit. Toutefois, le titre m’interpelle et la critique appelle ma curiosité. Il me faut cependant arriver au-delà des cinquante premières pages d’un récit totalement loufoque que je n’affectionne pas, mais j’en conviens plein de drôleries bien amenées, pour convenir qu’au-delà de toute cette mise en scène narrée par le fils, reprise par le journal secret du père, ma sensibilité se trouve petit à petit mise à nu.C’est l’histoire d’une famille, le père, la mère, le fils et… Superfétatoire, la grue de Numidie, qui ajoute un peu plus de burlesque au sein de cette famille décalée. Que ce soit le travail pour le père, l’école pour le fils, les règles de la société, tout cela est « frappé au coin du bon sens ». La famille, c’est la liberté, la fête, l’insouciance loin du conformisme, et surtout ce lien d’amour très fort entre tous… jusqu’à ce que l’intrus vienne frapper. Le texte change de tonalité au fur et à mesure que s’installe la gravité ; l’humour moins percutant reste présent et toujours très subtil. La poésie invite la mélancolie, et l’émotion est grande.Abandonnez- vous à cette lecture, ajoutez en fond sonore la belle chanson de Nina Simone, vous risquez seulement de passer un très bon moment.